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Connaître et comprendre certains biais cognitifs  est une chose qui s’avère très intéressante , dans l’étude du comportement humain en société. Dans cette 2ème partie de notre dossier, nous allons traiter du « biais de conformité ».

Ceux qui contrôlent la population, au sommet de la pyramide sociale (Le Nouvel Ordre Mondial, qui n’est plus un secret aujourd’hui), comprennent bien ce genre de phénomène et tablent même sur cet aspect afin de manipuler les individus.

La raison en est simple et logique: si vous voulez faire en sorte que les gens agissent en fonction de ce dont vous désirez, il est nécessaire au préalable de savoir comment l’esprit humain fonctionne et surtout l’effet de groupe.

Qu’est-ce qu’un « biais cognitif »?

L’esprit Humain se constitue de schémas de pensées, de croyances (quelles qu’elles soient), qui façonnent en partie le comportement.

Par rapport à la réalité des choses, les personnes peuvent avoir une « déviation de jugement ». Et cela même sans s’en rendre compte. En vérité, la majeure partie des gens sont soumis à cet état de fait.

Et lorsque des individus « croient » en certaines choses avec certitude et qui ne sont pas conformes à la vérité, nous disons qu’elles ont tout bonnement biaisé la réalité, en psychologie.

Il existe de nombreux biais cognitifs, mais nous en avons relevé surtout 2 pour notre dossier et qui sont directement liés aux manipulations sociales qu’exercent certains sur le « troupeau » humain.

– Cet article traite du « biais de conformité ».

– Le suivant exposera le « biais de confirmation », et qui est parfaitement en lien avec celui-ci.

Définition et explication sur le biais de conformité avec des exemples donnés:

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Se conformer consciemment ou inconsciemment, ou être le mouton noir du troupeau

Biologiquement et socialement, l’être Humain, n’est pas un être solitaire et éprouve le besoin de se retrouver avec d’autres individus qui souvent lui ressemble d’ailleurs, au moins sur certains points. C’est une des raisons qui explique qu’il existe différents groupes  et communautés dans la civilisation Humaine.

Bien entendu, l’individu peut avoir parfois envie de se soustraire momentanément du groupe où il se trouve, pour des raisons qui lui sont propres. Mais très rares sont les cas de personnes se retirant volontairement et totalement de la société et souhaitant rester absolument seules .

Comme les personnes auront l’envie consciente (ou inconsciente aussi) de se sentir utiles dans un groupe donné, d’avoir ce que l’on appelle le « sentiment d’appartenance », la plupart d’entre elles vont adopter les positions dominantes des principaux thèmes de ce groupe.

Les façons de faire et les croyances diverses seront passablement identiques d’un individu à l’autre.

Lorsque j’étais enfant, j’avais déjà noté ce phénomène. J’avais l’habitude de dire « il y en a un qui le fait, 100 qui le feront. Il y en a un qui le dit, 100 qui le diront« . Ce qui est à noter est que la majorité des personnes se « plient » à la conformité du groupe en question , et cela même sans raison valable, car elles ont peur de se retrouver isolées.

Par exemple, une personne peut arriver avec ses propres idées, mais une fois en contact avec le groupe social et voyant que celles-ci sont en adéquation avec les idées partagées majoritairement, les laissera de côté et se réappropriera celles de l’ensemble afin de se conformer. Peu resteront sur leurs positions, quand bien même ces personnes auraient raison de le faire. Ainsi, elles peuvent accepter un mensonge et ne pas oser le dénoncer.

Dans le « biais de conformité », il existe de très nombreuses variantes. L’une d’elles est la personne qui accepte une « vérité« , sans se rendre compte et savoir qu’elle est fausse. Dans l’enseignement scolaire, le phénomène est patent et plus que visible.

Enseignement scolaire ou endoctrinement scolaire?

La plupart des matières de l’enseignement officiel sont bourrées d’erreurs et de lacunes, si ce n’est de stupid-487043_640mensonges flagrants. Ceux qui ont mis sur pied le programme de ce dont « on doit savoir », le font dans le but de contrôler et d’orienter les personnes dans le sens qui leur convient.

Ainsi, vous ne pouvez pas poser certaines questions ou remettre en cause ce qui est écrit dans les manuels, sans automatiquement vous attirer certains ennuis du professeur, mais plus important encore, de la classe même. Que l’élève sache que ce qu’on lui demande d’apprendre par choeur est faux, ou bien qu’il ne le sache pas, la plupart vont restituer « le programme », qui vous le noterez porte bien son nom.

Voici un exemple personnel : nous étions en classe de 5ème, en cours d’Histoire à étudier la seconde guerre mondiale. Je souhaitais avoir une explication sur certains points, c’est alors que j’avais en tête 2 questions particulières et qui n’étaient pas traitées dans le cours et notre livre. Je me suis donc lancé à poser les 2 questions que je trouvais légitimes à notre professeur, que voici:

– Comment un simple caporal lors de la première guerre mondiale nommé Hitler, presque sans envergure, a t-il pu se hisser au faîte du pouvoir en Allemagne en une quinzaine d’années et devenir celui que l’on sait?

– Comment l’armée allemande, totalement défaite en 1918 et désarmée en grande partie par le Traité de Versailles, a t-elle pu (pareillement en une quinzaine d’années) devenir la terrible  Wehrmacht et infliger de si larges défaites aux autres nations belligérantes au début du second conflit mondial?

Je pensais poser seulement là 2 questions logiques, mais notre professeur (une dame autoritaire) est sortie de ses gonds et m’a de suite fait comprendre que ce n’était ni au « programme » et même pas « très important »! Toute la classe m’a regardé et invectivé, suivant en cela le professeur, du style « apprends ce qu’on te demande et pose les questions en rapport avec cela« .

Voilà un exemple type du biais de conformité: je me suis retrouvé bien seul face au groupe, et j’ai saisi que d’une manière ou d’une autre je devais adopter la position dominante (même si ces questions ne m’ont pas quittées). Sinon il y aurait « exclusion » d’une manière ou d’une autre de la classe.

A ce sujet, on sait bien aujourd’hui qu’Hitler n’est pas arrivé comme çà et par hasard au plus haut niveau du pouvoir allemand de l’époque, et que des sommes d’argent importantes lui ont été attribuées afin de reconstruire et rénover son armée. Mais nous mettons l’accent ici sur l’incidence de groupe. Une partie de ce dossier sera consacrée justement à l’endoctrinement historique.

« l’Effet de mode »: c’est aussi un biais de conformité!

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le « best-seller » de Valérie Trierweiler. Petit exemple-type du biais de conformité (conjugué au « culte du spécialiste » de la 1ère partie de notre dossier). Source:wwwlepoint.fr

Ici aussi, le phénomène dont nous parlons est plus que palpable sous cet angle et les exemples sont sans fin: que ce soit de se vêtir de manière similaire que les autres individus d’un groupe donné, d’adopter un langage particulier, parler de thèmes de société « tendance » et non d’autres, acheter telle ou telle chose parce que les autres le font, etc…

Le « biais » reste le même: ou vous vous conformez au groupe, ou bien c’est l’exclusion et l’isolement. Il y a quelque temps, l’ex-première dame de France Valérie Trierweiller a sorti son ouvrage « Merci pour ce moment ». Bien que ce soit un livre sans substance réelle, celui-ci est rapidement devenu un best seller. Lorsque des journalistes demandaient aux personnes « Pourquoi achetez vous cet ouvrage? », nombreuses sont celles qui répondaient : « je le fais parce que les autres le font ». Bien sûr certains obtenaient l’ouvrage en pensant y découvrir des choses croustillantes ou des secrets de François Hollande. Alors que ce livre n’a juste été écrit qu’en réponse à une déception amoureuse et un désir de vengeance, ainsi que la volonté de faire de l’argent de la part de Valérie Trierweiller.

Beaucoup donc se sont « conformés » à cette tendance.

Ceux qui nous manipulent, peuvent donc facilement utiliser ce « bais de conformité » en imprimant au départ et grâce aux moyens qu’ils détiennent pour y parvenir, des choses qu’ils veulent voir au sein de la population. Car ils savent bien que lorsque la chose deviendra la position majoritaire, elle sera amplement « acceptée » de fait.

Les fameuses « thèses officielles » rentrent bien sûr dans le cadre de ce phénomène sociologique. Il peut souvent y avoir un caractère aggravant de manipulation à ce niveau: beaucoup par exemple vont répéter la version de base sur les évènements du 11 septembre 2001, simplement parce que « c’est ce que tout le monde dit » mais en plus ces personnes n’auront pas vérifié et vous pourriez le constater en leur posant de simples questions, qu’ils ne connaissent pas grand chose au sujet. Là, c’est la conjugaison du « culte du spécialiste » (étudié en 1ère partie) et du « biais de conformité ».

Maintenant et fort heureusement, la version officielle est de plus en plus contestée, et ce fameux « biais de conformité » fonctionne bien sûr aussi dans l’autre sens. Lorsque la majorité aura acquis la conviction qu’on leur a menti, ce seront ceux qui continueront à répandre le discours officiel, qui seront pointés du doigt.

Dans la 3ème partie, il sera question du « biais de confirmation », un biais cognitif proche mais individuel.

Vidéo sur l’expérience de « Asch », le conformisme :[youtube http://www.youtube.com/watch?v=7AyM2PH3_Qk]

Conférence « Neuro-pirates, Neuro-esclaves » avec Paolo Cioni, partie 2 :[youtube http://www.youtube.com/watch?v=PzZp8Qm0YB4]

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