On le dit souvent, les Illuminati sont composés de nombreuses stars, mais surtout de beaucoup de grandes familles. Elles gouvernent le monde car sont dans la finance, la politique, l’industrie, la production cinématographique et musicale. Un chercheur a donné une liste de grandes familles impliquées. Décryptage. La liste de Fritz Springmeier Fritz Springmeier est un écrivain et conférencier américain. Il s’est longtemps penché sur l’histoire des Illuminati. Au fil de ses recherches, il a pu identifier un certain nombre de grandes familles assez proches, voire piliers des Illuminati. Attention, cela ne signifie pas que la totalité des membres de ces familles soit impliquée dans le complot. Toutefois, elles ont pour point commun de revenir de façon récurrente dans les enquêtes que les chercheurs mènent sur les Illuminati, hier ou aujourd’hui. Les « princes » Rothschild
Selon le chercheur américain, on peut d’ores et déjà identifier les piliers des Illuminati. Citons avant tout la famille Rothschild. Hommes d’affaires depuis le XVIIIème siècle, prêtant des sommes énormes aux puissances politiques, ils surfent sur les guerres et « rétablissent » grâce à leur fortune l’équilibre mondial régulièrement, comme bon leur semble Les valets : les Warburg> Il y a aussi les associés principaux des Rotschild, lesWarburg. Très fiers de leur ancienneté, ils font remonter leurs racines familiales au XIème siècle. Ils deviennent banquiers dès le XVIIème siècle. Ils sont très liés aux Rotschild, font d’énormes affaires avec eux, et vont jusqu’à « échanger » régulièrement leurs enfants, afin que les familles soient le plus liées possible. Les rois Rockefeller<
Rockefeller. C’est encore une famille de banquiers, mais elle compte aussi des politiciens et des industriels. L’un d’eux, John Davison Rockefeller, est réputé avoir amassé une fortune de plus de 200 milliards de dollars américains. De par cette richesse, les Rockefeller interviennent régulièrement dans l’histoire des Etats-Unis. Leur empire, Standard Oil, contrôlait 90% des raffineries américaines. Pas difficile de comprendre que les instances dirigeantes de cet État soient encore obligées aujourd’hui de leur demander leur avis lorsqu’ils prennent des décisions. La famille Dupont
Enfin, la tête de peloton comprend aussi la famille Dupont. Au XVIIIème siècle, Samuel de Pont (orthographe de l’époque) épouse une certaine Anne Alexandrine Montchanin. Cette femme est censée porter en elle de puissants dons de médiumnité. On dit que des pouvoirs occultes résident dans cette famille depuis cette époque.
Un de leurs fils, Pierre Samuel Dupont est le premier à tisser des contacts avec les Illuminati. Il reçoit la mission secrète d’éduquer la jeunesse à la fascination de l’argent. Pour ce faire, il se rend en Pologne (à la demande du roi) et élabore un système d’éducation nationale. En 1799, il est invité aux États-Unis par un autre grand Illuminati, le président Jefferson. Ici encore, Pierre Samuel Dupont travaille sur un projet d’éducation des masses. C’est ce même président Jefferson qui cède à la famille Dupont le premier contrat de poudre de guerre. C’est le début d’une immense richesse. Les Dupont fournissent des munitions aux États-Unis depuis ce jour, ce qui leur a permis d’établir un empire colossal. Aujourd’hui, ils ont fait évoluer leur industrie dans toutes les branches, mais la branche chimique est incontournable aux États-Unis. Kennedy, les Onassis, Vanderbuilt, Guggenheim, Oppenheimer…
Mais attention, ne nous y trompons pas. Si cette liste comprend de nombreux noms de familles juives, cette religion ne signifie absolument pas l’appartenance absolue aux Illuminati. Cela vient simplement du fait que les Juifs font partie des instances financières depuis le Moyen-Age, où ils étaient les seuls en Occident à pouvoir pratiquer le prêt avec intérêt, les Papes l’interdisant aux chrétiens. Reste que les grands de ce monde se partagent « en petit club » la quasi totalité des richesses produites. Ils les conservent et mettent tout en place pour que « la masse » désinformée n’y ait jamais accès.