Voici un dossier passionnant que nous vous proposons sur les origines réelles de l’Humanité. Etant donné l’ampleur d’un tel dossier, un seul article n’aurait pas été suffisant pour avoir une vue d’ensemble suffisamment étoffée.
Nous allons donc le présenter en 6 parties, afin que le lecteur puisse y voir plus clair, et partant, se faire sa propre opinion. Les données archéologiques, paléontologiques, les écrits anciens d’anciennes Civilisations, ainsi que les dernières recherches dans le domaine génétique seront mises à contribution pour se faire.
Première partie
Les 2 grandes théories concurrentes et introduction à « l’Interventionnisme »
l’Histoire Officielle, pour celui qui regarde de plus près sans prendre pour argent comptant tout ce que l’on veut bien nous enseigner, est truffée d’inexactitudes, d’erreurs, de mensonges grotesques.
Il faut garder à l’esprit que tout ce que l’on nous dit sur l’Histoire est basé sur un « canevas » proposé depuis seulement 200 ans environ, et se veut être immuable et empreint de conservatisme sur lequel tout aurait été dit et que ces choses enseignées depuis nos premières années de scolarité seraient absolument sûres et certaines.
Dans cet esprit, impossible d’y revenir, de faire des vérifications, et tout chercheur s’y adonnant et présentant des conclusions différentes est qualifié « d’hérétique », mis au banc de la communauté scientifique et ridiculisé.
Concernant les origines humaines, 2 théories se sont affrontées pour en expliquer la survenue: « le Créationnisme » et « l’Évolutionnisme ».
Le Créationnisme: Jusqu’à il y a 200 ans, la conviction que « Dieu » avait créé le monde, selon la lecture littérale de « l’Ancien Testament » de la Bible, était communément admise et donner une explication autre était considérée comme parfaitement ridicule. La vue de l’époque était donc que le monde (et l’Univers dans son entier) aurait été créé il y a seulement 6000 ans, avec l’ensemble des espèces concommittantes, y compris l’Homme.
l’Évolutionnisme: le naturaliste Charles Darwin (1809-1882), sur lequel repose en partie cette nouvelle théorie à l’époque, part en voyage durant 5 années à bord du voilier « Beagle » où le jeune scientifique fera des observations à terre, principalement dans l’hémisphère sud.
Entre autres, il étudie: l’Ornithorynque et le Rat-Kangourou en Australie, des découvertes d’espèces fossiles de mammifères géants en Amérique du Sud, surtout il rassemble sur les îles Galapagos différents Minimis (oiseaux de la famille des paresseux), qui lui font commencer à penser que le « Créationnisme » n’est pas la bonne solution pour expliquer l’apparition des diverses espèces animales.
Nous ne mentionnons ici que quelques exemples d’observation du naturaliste, car il y en a bien d’autres. Mais loin de nous de dire que Darwin n’était pas un grand savant. Cependant, tout le monde peut se tromper, et les données de l’époque n’étaient pas aussi complètes qu’aujourd’hui (elles ne le sont d’ailleurs toujours pas !).
En tout, cas le chercheur croit maintenant que les espèces se sont formées de manière successive, car il semble trouver dans certaines d’entre elles des mélanges d’autres espèces. A la même époque, un autre scientifique Charles Lyell (1797-1875), fonde la géologie moderne dont toute l’image du monde découle actuellement, car il affirme que la physionomie apparente de la Terre n’a pu se former qu’en petites étapes successives et que celle-ci ne s’est que très peu modifiée au cours de son Histoire.
Voilà qui conforte Darwin: la planète serait donc bien plus âgée que ce qui est admis à l’époque (les 6000 ans du Créationnisme), les espèces ne se sont pas formées spontanément, la paléontologie (l’étude des fossiles) viendra à la rescousse dans l’avenir confirmer ou infirmer ces allégations.
L’ornithologue John Gould participe également à cette théorie, faisant savoir que les espèces d’oiseaux observés par Darwin seraient bien le résultat d’un « mélange » d’autres espèces. Voilà un résumé de cette théorie: tout se serait développé à partir d’organismes protozoaires (de minuscules organismes unicellulaires développés dans les mers) jusqu’aux superorganismes actuels, de manière lente et graduelle. Et en plus, par énorme hasard. Ceci est très important pour la suite.
En 1859, Charles Darwin publie donc son ouvrage » De l’Origine des Espèces » dans lequel il inclut également le concept de « la survie du plus apte » et de la « sélection naturelle« . Les espèces qui s’adaptent le mieux à leur environnement, survivent. Pour Darwin et les autres scientifiques mentionnés ci-dessus entre autres, l’Homme n’échappe pas à ce processus: il fait également partie de la nature, n’est pas comme l’enseigne le « Créationnisme » d’essence divine, donc il doit y avoir eu les mêmes étapes biologiques à l’oeuvre et l’étude des divers fossiles des différentes couches sédimentaires sera en mesure de le déterminer.
1ère fausse idée :
la théorie de l’évolution n’est pas totalement de Darwin, il l’a reprise et adaptée à partir de travaux d’autres chercheurs :
– Le naturaliste Jean-Baptiste Lamarck (1744-1829) a classé les vertébrés (80% des animaux) et est l’un de ceux qui utilisent pour la 1ère fois le terme de Biologie, qui est la science qui étudie les êtres vivants. Sa théorie « Transformiste » tente d’expliquer le mécanisme d’organisation croissante des espèces propres à leur métabolisme, la spécialisation de celles-ci en multiples espèces et selon des milieux variés. Pour lui, il doit y avoir une « nécessité théorique de l’évolution« .
– Le propre grand-père de Darwin, Erasmus Darwin (1731-1802), amorce une grande part de la « Théorie de l’évolution », 70 ans avant les travaux de son petit fils
– Mieux encore, et quelque chose de très peu connu même de beaucoup de spécialistes, Anaximandre (vers 610 avant J.C.-vers 546 avant J.C.), un savant grec ayant étudié tous les aspects du monde dans de nombreux domaines d’un point de vue « scientifique », est de ce que l’on connaît de l’Histoire, le père des Sciences. Le grammairien Censorin au 3ème siècle, dira de lui:
« Anaximandre estimait que de l’eau et de la terre réchauffées étaient sortis soit des poissons, soit des animaux tout à fait semblables aux poissons. C’est au sein de ces animaux qu’ont été formés les hommes et que les embryons ont été retenus prisonniers jusqu’à l’âge de la puberté ; alors seulement, après que ces animaux eurent éclaté, en sortirent des hommes et des femmes désormais aptes à se nourrir. ». Traduction de J. Mangeart, Paris, 1843.
Le procès « du singe »
En 1925, un professeur américain, John Thomas Scopes (1900-1970) est accusé d’enseigner la controversée « théorie de l’évolution de Darwin » et est renvoyé en Cour dans un procès médiatisé, dit « le procès du singe ». Fondamentalistes bibliques et évolutionnistes s’affrontent dans des débats sans fin, et qui seraient trop long d’expliciter ici.
Malgré la condamnation de Scopes, les scientifiques s’étant rangés en majorité dans son camp, remportent une grande victoire médiatique et depuis lors, la « théorie de l’évolution » deviendra « la » théorie scientifique communément admise et enseignée dans les manuels scolaires. Et cela, malgré d’autres travaux de certains chercheurs tout aussi (sinon plus) intéressants et qui auraient dû être pris en compte.
Quoi qu’il en soit, il faut garder à l’esprit certaines données: en effet, la « théorie de l’évolution », ne peut être valable d’un point de vue scientifique, que dans les cas suivants :
– L’échelle de temps étant longue pour une adaptation des espèces, il ne faut pas qu’il y ait eu des catastrophes sur Terre oblitérant la bonne marche de ladite « évolution« .
– Comme mentionné plus haut, il faut découvrir au niveau de la paléontologie des fossiles d’espèces intermédiaires, menant aux espèces actuelles, y compris l’Humain, bien entendu.
– Écarter définitivement les théories concurrentes de l’époque, peu connues du grand public.
– Mais avant tout, réussir à expliquer certaines découvertes très dérangeantes, qui ne cessent de se multiplier ces dernières années. Certaines sont pourtant connues depuis au moins un siècle, et contredisent formellement la théorie de l’évolution. A savoir, entre autres : des espèces d’Hominidés ne rentrant pas du tout en cadre avec cette théorie et le supposé arbre évolutif Humain et également de certaines espèces animales et végétales. De très nombreux artefacts « impossibles » retrouvés dans des strates extrêmement anciennes à une époque où il est normalement admis que l’être Humain n’existait pas encore, et encore plus surprenant, des empreintes de pas de dinosaures cohabitant avec des empreintes de pas humains, etc… Et la liste est longue.
Source image : http://www.ldi5.com
Ces découvertes, amènent aujourd’hui des chercheurs avant-gardistes à se poser de sérieuses questions. Une nouvelle piste est dorénavant proposée. Une piste plus qu’intéressante et comblant presque en totalité les lacunes des 2 théories (Évolutionnisme et Créationnisme) communément admises, englobant tous les domaines de recherche jusqu’à la génétique. Une nouvelle approche plus qu’incroyable, pourtant adoptée de plus en plus par des chercheurs de pointe.
Cette approche, c’est l’hypothèse « exogène » de l’apparition de la vie sur Terre. Cette nouvelle théorie, qui ne nous en cachons pas nous semble la meilleure, est appelée « Interventionnisme ». C’est à dire une intervention extérieure à notre planète, « extraterrestre »…
Dans les articles suivants, nous l’expliquerons en détail, et la confronterons à l’Évolutionnisme et au Créationnisme.
Chacun pourra alors juger des éléments en présence et faire sa propre opinion.
Vidéo sur le mythe de l’évolution par le Professeur M. Giertych, généticien de l’Académie des Sciences de Pologne :