Deuxième partie concernant notre dossier sur les Origines de l’Humanité (2/6). Après avoir présenté la théorie » Evolutionniste » (explication partagée par la plupart des scientifiques) ainsi que la théorie « Créationniste » (explication découlant de la lecture de l’Ancien Testament).
Nous avons également introduit l’hypothèse exogène sur laquelle nous reviendrons, car c’est d’une grande importance.
Anomalies et découvertes frauduleuses entourant la théorie de l’Evolution
Avant de se lancer dans l’étude de l’hypothèse d’une intervention extérieure concernant nos origines, voir même l’origine de toute vie sur notre planète, il convient d’étudier les éléments mis en avant et présentés comme étant certains, par la plupart des scientifiques. Ces éléments sont nombreux, aussi nous allons tenter de vérifier certains des principaux.
Le biologiste Ernst Haeckel (1834-1919), a écrit un ouvrage important en 1868 intitulé « Histoire de la Création naturelle ». Celui-ci semble donner des arguments imparables dans la validité de la théorie de l’Evolution.
Dans son livre, Haeckel explique avoir procédé à de multiples comparaisons entre les embryons humains, ceux de singes, de chiens, et de plusieurs autres espèces. Il inclut dans son exposé les dessins desdits embryons, tout en soutenant à la communauté scientifique que les ressemblances entre eux sont si frappantes, « presque identiques », que l’on peut affirmer désormais avoir une preuve convaincante que ces espèces avaient des ancêtres communs. Il n’en fallait pas plus aux évolutionnistes pour soutenir leur théorie.
Pourtant, des doutes avaient été portés dès le départ sur l’authenticité de ces fameux dessins et de l’ensemble des travaux de Haeckel. En fait beaucoup de biologistes et même d’évolutionnistes pensaient que celui-ci avait modifié ses dessins afin de les arranger et les faire concorder avec la théorie scientifique.
Aujourd’hui, on sait que c’est effectivement le cas. Courant 1990, l’embryologiste Michael Richardson réexamine une nouvelle fois les spécimens d’embryons étudiés par Haeckel. Ce faisant, il ne trouve aucune similitude entre eux. Les travaux de Richardson et son équipe ont été publiés dans la prestigieuse revue scientifique « Anatomy and Embryology » (numéro d’août 1997). On y voit les véritables photos des embryons en question et leur distinction les uns des autres. En fait, Haeckel avait totalement modifié ses dessins surtout au niveau de la taille réelle des embryons, ajoutant ou enlevant même des organes.
Richardson: « il existe de très grandes disparités de morphologie et de développement entre ces espèces. Les dessins de Haeckel s’avèrent être l’une des plus grandes falsifications en Biologie ».
En mars 2000, le célèbre paléontologue et partisan de la théorie de l’Evolution Stephen Jay Gould a ouvertement dit qu’il était depuis longtemps au courant de la supercherie. Cependant, certains livres de biologie continuent de répandre l’idée que tout ceci est bel et bien exact, alors que l’on aurait dû assister à un grand questionnement. Une véritable remise en question.
« L‘Archeopteryx » découvert en 1861 semble aussi participer à la revendication de la théorie de l’Evolution. En effet, il présenterait » des traits communs entre le reptile et l’oiseau ». Mais on sait aujourd’hui que c’est totalement faux: « l’archeopteryx » est en fait un dinosaure comme les autres ». De nombreux chercheurs pensent maintenant, par exemple, que certains dinosaures étaient recouverts de plumes. Dire que les espèces sont affiliées, est exact, mais une parenté en directe ligne est à écarter. Hors la théorie « évolutionniste » essaie d’expliquer un cheminement, concevoir les espèces s’améliorant dans leur environnement et donnant naissance à de nouvelles espèces.
L’affaire de « l’Homme de Piltdown »
En 1912, l’avocat et géologue Charles Dawson, accompagné par Arthur Smith Woodward qui est alors un paléontologue apprécié, va annoncer une découverte capitale: « un très vieux crâne humain » vient d’être trouvé et ce n’est ni plus ni moins que le « chaînon manquant entre le singe et l’Homme ».
En effet, les chercheurs voient alors des similitudes dans l’examen du crâne et de la mâchoire avec un singe et une « correspondance » Humaine dans la composition du fossile en deux parties.
Des chercheurs et des curieux se précipitent à Pitldown, un petit village en Angleterre qui est l’endroit où a été faite cette extaordinaire trouvaille. A proximité on retrouve aussi des fossiles datant d’environ 500 000 ans de la dernière ère glaciaire. Les scientifiques en déduisent qu’il faut établir la chronologie Humaine à partir de cette même période Les découvertes se faisant de strate en strate géologique, on pense que ces mêmes artefacts apportent la preuve de la théorie de l’évolution, en toute logique. A partir de là, tout l’arbre évolutif de l’être Humain est constitué.
En 1949, la vérité éclate enfin: d’autres ossements ont été découverts sur le lieu et la chronologie des faits supposés ne cadrent pas. Des datations effectuées sur le célèbre fossile démontrent que le crâne en question ne peut en aucun cas provenir de la carrière où il a été trouvé. Mais plus important on découvre que la mâchoire est en fait celle d’un orang-outan. Le crâne, quant à lui, est celui d’un homo Sapiens basique. Les dents ont également été limées afin que la mâchoire coïncide.
En 1953, le British Museum confirme le canular et procède à de nouvelles datations pour s’en assurer. Malgré le fait que ces éléments indiscutables contredisent la version officielle, on les a mis de côté pour conforter la théorie en vigueur, de l’époque: « l’Evolution' ». D’autres éléments conséquents et importants dans cette théorie sont également contredits. D’autres « découvertes » de fossiles sont en fait des faux grossiers. Cela tient du fait, principalement, d’une « course » lancée depuis les publications de Darwin et d’Haeckel et consistant à découvrir le fameux « chaînon manquant » entre le singe et l’Homme. Des chercheurs en quête de renommée et de gloire n’ont pas eu de scrupule à truquer des éléments, afin de faire parler d’eux. En regardant de plus près, le dossier confirmant la ‘Théorie de l’Evolution » est totalement vide.
Rectifications à apporter concernant la notion de « chaînon manquant »
De nombreuses personnes pensent qu’un seul fossile qui serait découvert et qui montrerait un changement entre une espèce de singe vers l’Humain serait à lui seul suffisant pour démontrer le bien-fondé de toutes ces allégations. Il n’y aurait qu’une seule espèce intermédiaire entre les deux. C’est absolument impossible, en tout cas de manière naturelle et suivant l’examen des éléments à notre disposition.
Par exemple, le Dr Francis Crick , prix Nobel avec James Watson pour avoir découvert l’A.D.N. dans les années 1950, pensait que « La Vie venait d’ailleurs »et que les éléments constitutifs à l’apparition de celle-ci étaients « présents partout ». Le Dr Francis Crick a même publié des théories sur le sujet: la « Panspermie » et encore plus fort le concept de « Panspermie dirigée ». Dans le cadre de ses recherches, Francis Crick exprimait le fait que « Ce n’est pas un, mais des centaines de chaînons manquants que nous devons trouver ». En effet, le concept d’Evolution de par sa propre définition, implique des changements successifs et graduels. Aucun exemple d’observation jusqu’à présent n’existe pour démontrer qu’une espèce différente est apparue à la suite d’une autre en seulement une ou quelques générations de transition.
Nous reviendrons dans le prochain article sur le sujet des concepts du Dr Crick, qui sont une des bases de la nouvelle théorie, « l’Interventionnisme ». Nous parlerons des éléments pouvant accréditer l’hypothèse « exogène » qui comblent justement les lacunes des autres théories. En attendant nous pouvons dire que cette théorie rassemble de plus en plus d’adeptes et avec des éléments importants.
Voici encore une vidéo contredisant la simple « Théorie de l’Evolution » :