Découvrez l’origine et les liens de Daech avec les USA. Reprenons les bases du groupe Daech.
Origines de Daech et liens avec la CIA
La signification de Daech en arabe est « Dawlat Islamiyah Iraq Washam« , soit « l’Etat Islamique en Irak et au Levant« . Cette organisation, si on peut dire, est née en Irak en 2004.
Lors du Printemps arabe qui a débuté en Tunisie fin 2010, Daech était resté plutôt timide avec 5200 éléments restés en Irak. Puis vint la crise syrienne de 2011 où le groupe en était à 7000 éléments, et enfin aujourd’hui avec plus de 35000 combattants.
En juin 2014, Daech a proclamé un « califat » sur les territoires sous leur contrôle en Irak et en Syrie, et a affirmé que leur mouvement était djihadiste.
En fait, en comprenant la géopolitique et les enjeux stratégiques américains, on s’aperçoit vite du fait que les Talibans et Daech sont les 2 faces d’une même pièce, contrôlées par les USA et leurs services secrets.
Ces groupes islamiques créés avaient surtout 2 buts:
– L’Effondrement du Communisme lors de la campagne militaire russe en Afghanistan de 1979/1989.
– Défendre les intérêts du Sionisme et redessiner la carte du Moyen-Orient.
Les liens avec les services secrets sont clairs, en regardant de plus près le financement de ces mouvements. Pour les Talibans, un rapport de l’Office des Nations Unies contre la Drogue et le Crime datant de 2013 stipule que la production d’opium n’a jamais été aussi importante (75% du trafic mondial et 11% de culture de pavot en plus qu’en 2011, toujours selon ce rapport).
Officiellement, on veut nous faire croire que l’OTAN lutte contre le trafic de drogue en Afghanistan…
Le frère d’Ahmed Karzaï le président actuel, Amhed Wali Karzaï, était financé par la CIA faisant de lui un trafiquant d’opium de premier plan. Selon le New York Times, l’argent des services secrets ont permis à Amhed Karzaï de consolider son pouvoir. Egalement en 2013, une inspection à Kaboul a établi une liste de 65 officiers des services secrets américains de haut niveau comme héroïnomanes. Il semble que ce qui se passe en Afghanistan soit donc lié avec le trafic d’opium aux USA et dans le monde. Et rapporte plutôt pas mal à certains, tout en aidant les Talibans à poursuivre leur effort de guerre.
En ce qui concerne Daech, cette organisation permet de maintenir la guerre en Irak et ses territoires riches en pétrole, ce qui est donc profitable pour l’économie américaine car cela provoque un ralentissement de la chute des cours empêchant ainsi la ruine des USA. Cela leur permet aussi d’être plus proches de la Syrie et de l’Iran, leurs ennemis. Les trafics d’armement et de pétrole s’effectuent en dollars et les américains connaissant les transactions financières en Iran, devraient donc connaître également celles de Daech concernant le pétrole qui lui permet d’acheter ses armes, afin d’intervenir pour stopper ou au moins limiter ceci. Car ils ne se privent pas d’empêcher le HAMAS d’obtenir de l’armement, par exemple. L’élément qui confirme est que justement Daech ne s’occupe pas d’inonder le marché d’or noir mais vend uniquement son pétrole pour ses objectifs de guerre.
Concernant la destruction du patrimoine historique irakien
En 2001, ce sont les Bouddhas de Bamiyan qui ont été victimes du fanatisme islamiste. Ces statues monumentales datant d’entre le 3ème et 5ème siècle avant J.C. et situées à proximité de Kaboul ont été détruites par les Talibans , jusqu’ici presque totalement inconnus des occidentaux. Quelques mois après seulement, c’était le 11 septembre. Avec la résultante que l’on connaît, à savoir l’invasion de l’Afghanistan , puis de l’Irak en mars 2003 sur le mensonge des armes de destructions massives et de liens supposés avec Al Qaeda. Lors de’ cette invasion, le musée national irakien de Bagdad, soit disant gardé par les militaires américains, a été pillé et ce sont plus de 15000 pièces (sumériennes, akkadiennes et babylonniennes de l’ancienne Mésopotamie) qui se sont envolées dans la nature. Ce qui est surprenant dans cette affaire, est qu’il semble que le vol des pièces majeures et authentiques semble avoir été fait de manière « professionnelle » puisque des copies sans valeur et exposées n’ont pas été dérobées.
D’ailleurs certaines fameuses tablettes anciennes d’écriture cunéiforme et qui n’avaient pas encore été traduites étaient détenues dans des coffres. Qu’auraient pu nous apprendre leur décryptage ? Quand on sait que certaines tablettes traduites par plusieurs chercheurs parlent de la création de l’homme par des êtres venus des étoiles, on peut se poser la question. Le savoir ancien de toute cette région est absolument stupéfiant, et en dresser la liste ici serait long. Il semble que certains s’évertuent à vouloir effacer l’Histoire que nous raconte en détail ces peuples, car ne concordant absolument pas avec la version officielle académique. D’ailleurs les connaissances des sumériens s’avèrent totalement anachroniques pour l’époque. A partir de 2010, quelques uns de ces trésors (quelques centaines, surtout des objets et peu de tablettes) ont refait surface dans des circonstances particulièrement étranges. On ne sait d’ailleurs pas si les quelques tablettes retrouvées ont fait l’objet d’études depuis.
Puis le 27 janvier dernier, Daech a bombardé l’antique cité de Ninive qui renfermait à la base la fameuse bibliothèque du roi assyrien Ashurbanipal (près de Mossul actuellement). C’est bien ici qu’avaient justement été découvertes certaines des milliers de tablettes anciennes en 1849 par l’expédition britannique d’Austen Layard…
Précisons ici tout de suite que l’exégète reconnu, Mauro Biglino (ayant travaillé pour le Vatican), a également traduit certains de ces textes entre autres, et il n’a aucun doute sur le fait que ceux-ci parlent effectivement de la venue d’êtres des étoiles, créant l’homme par ingénierie génétique. Certains éléments provenant d’études scientifiques prouveraient ces dires, notamment des découvertes faites par le professeur Sam Chang concernant le génome humain. Le professeur Chang est également convaincu d’une intervention «exogène » dans le cycle évolutif humain. Bien d’autres chercheurs également. On peut donc se poser la question de savoir si des personnes essaieraient pas de cacher tous ces éléments, et si tel est le cas, il serait tout à fait logique pour elles de faire disparaître ces fameuses tablettes et certaines œuvres d’art. De plus, d’autres découvertes ont eu lieu en Syrie, notamment à Ebla.
Curieux tout de même que certains pays en rapport avec tout ceci et l’Histoire ancienne soient en guerre…
Et maintenant nous avons la continuation, avec toujours Daech qui a détruit les pièces de la collection du musée de Mossul il y a quelques jours. Cela n’arrête donc pas depuis une quinzaine d’années environ. Cependant, ici, il semble qu’une bonne partie des pièces saccagées (nous n’avons pas entendu parler de tablettes dérobées ou cassées) étaient des répliques. Le magazine « l’Express » a d’ailleurs écrit : « Selon les experts, les pièces dont on voit la destruction en vidéo comprennent des originaux, des reconstitutions autour de fragments et des copies . Beaucoup provenaient de la ville antique de Hatra, située à 100 km au sud-ouest de Mossul (patrimoine culturel de l’UNESCO) ».
Quand on sait que tous ces groupes islamistes sont pilotés par les Oligarques et les Financiers mondiaux, qui provoquent constamment l’instabilité dans toute cette région afin d’établir leur plan de domination mondiale, tout s’éclaire beaucoup mieux. Il serait donc évidemment de leur intérêt de profiter de la situation pour faire disparaître certaines preuves gênantes d’une intervention « extraterrestre » lointaine et de garder les masses endormies et ignorantes à ce sujet.